En
même temps que j’ai quitté les arbres solitaires de la plaine pour pénétrer la
forêt , ces photos
viennent rompre le cycle du seul noir et blanc. La démarche est binaire,
numérique. Primaire aussi. Pure comme le silence d'un jeu d'enfant. Ouvrir
grand les yeux sur une lumière colorée, puis les fermer fort, longtemps, et
chercher des couleurs surnaturelles aux formes inédites projetées sur l'écran
rétinien.
Photos et texte:
Baghir
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