sábado, 21 de marzo de 2015

Destino
















Quitter sa patrie pour un meilleur avenir dans un nouveau pays, c’est une histoire qui a été racontée maintes fois à travers les siècles. Être transplanté dans un pays étranger est déjà assez dur si vous avez l’étiquette “immigré légal”. Pour ceux qui fuient la pauvreté ou les conflits, l’étiquette “immigré clandestin” en rajoute à une âme déjà porteuse de fardeaux, et souvent, la vie qui promet de grands espoirs après la terreur apporte ses propres nouvelles horreurs.




















L’immigration est un bal politique qui est toujours d’actualité, mais ce que les spécialistes en communication continuent d’ignorer est le fait que ces “clandestins” sont en fait des êtres humains. Ce ne sont pas des statistiques ni des inconvénients, mais des gens : des pères, des mères, des bébés, des adolescents, des jeunes et des vieux qui ont tout risqué pour une chance d’avoir le genre de vie que beaucoup considèrent comme acquis.




















Quand les papiers d’identification n’existent plus parce que votre pays est en guerre et que votre foyer a été détruit, le seul choix qui reste est celui de l’illégalité, où les passeurs sentent le désespoir de la proie facile. Mais le conflit est seulement l’une des terreurs qui conduit les gens à déraciner leur vie et ce qui manque trop souvent des discussions sur l’immigration est le manque de compassion quand on traite de ces âmes courageuses.



















Photos et texte:
Michelle Frankfurter



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