Grâce à la camera obscura je vois
que le plus fort n’est pas le plus visible, aussi je trempe mes yeux dans les
flaques de lumière avant d’essayer de viser le bon endroit pour déposer la
tâche sur le papier argentique. Le bon endroit, le juste placement, est aussi
important que l’impression que je peux y laisser. […]
L’image, le poème, donnent à voir
ce qui ne peut se montrer, parce que le manque qu’ils contiennent l’un et
l’autre est digne de l’absence qu’ils déplorent.
Photos et texte:
Philippe Brame
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